lundi 26 avril 2010
La science de la voracité (suite)
Une science formelle
L'économie en tant que science aurait dû permettre en théorie de mieux comprendre la réalité mais le courant dominant pour lequel l'essentiel est constitué de formalisations mathématiques n'a pas étè capable de prévoir la crise.
A ce sujet, il faut à mon sens apporter une précision: dans un domaine où l'homme intervient en tant qu'acteur, en tant que volonté, une approche uniquement mathémathique, quantitative comme on le dit en sciences humaines n'est pas satisfaisante; une approche qualitative, c'est à dire une étude des facteurs humains, mettant en lumière le comportement, voire la psychologie des différents acteurs économiques et financiers est nécessaire ainsi qu'une évaluation sociale, juridique,et écologique des différentes pratiques.
En fin de compte, une épistémologie de la science économique devrait voir le jour afin d'éviter les désastres humains, financiers que l'on connaît. L'épistémologie étant l'étude d'une science et de ses application dans le domaine éthique notamment( epistémé-savoir, logos- discours).
à suivre
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